Gloaguen Audrey

Semia

À la veille de Noël, le suicide collectif dans un centre commercial d’individus apparemment étrangers les uns aux autres, voilà de quoi attirer les médias charognards. Justement, la jeune journaliste Manhattan Caplan cherche à tout prix un scoop pour sauver son boulot et conserver la garde de son fils. De la banlieue parisienne à Aokigahara, la forêt des pendus du mont Fuji, son enquête la mène sur la piste d’un réseau social et d’un logiciel révolutionnaire baptisé SEMIA (Semantic Analysis) qui dresse un portrait psychologique des utilisateurs et suscite la convoitise jusqu’au sommet de l’État.

On a deux vies et la seconde commence lorsqu’on comprend qu’on n’en a qu’une (Confucius).

Installée depuis deux ans à Saint-Benoît, séduite par la douceur des paysages poitevins, cette native de la région parisienne, « née et grandie dans le 9-3 », a longtemps été journaliste d’investigation pour le compte de grandes chaînes de télé. Depuis 2013, elle réalise des documentaires dont plusieurs ont été diffusés sur France 5 (Inceste, que justice soit faite, Tampon, notre ennemi intime).
La voilà donc passée à l’écriture de polar, un genre qui lui permet de « lâcher les chevaux, sans avoir peur du regard des autres » (https://www.centre-presse.fr/article-840556-audrey-gloaguen-signe-son-premier-polar-chez-gallimard.html)

Voir en ligne : Gallimard
Mis en ligne le 2 octobre 2022.
Partagez cette page :
< | >