Novembre en avril, chroniques des bénévoles

Tant qu’il y a du noir, il y a de l’espoir !

À défaut de pouvoir accueillir les auteurs et le public cette année, nous allons proposer des chroniques réalisées par les bénévoles sur les auteurs qui ont accepté de venir au salon cette année. Encore merci à eux

Ces chroniques vont venir petit à petit, au fil du temps, tranquillement jusqu’au mois d’avril.

En effet, nous croyons dur comme fer que le festival peut effectuer un saut temporel pour que novembre soit en avril. Serait-ce une dyschronie ?
Tant qu’il y a du noir, il y a de l’espoir !

Le mois d’avril est certes le moment idéal pour ne pas se découvrir d’un fil, mais aussi pour passer du noir où Gabrielle brule notre esprit, au noir où le salon va à nouveau allumer le feu !


Mis en ligne le 28 novembre 2020.
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